La mécanique des villes
Dévoilement d'une oeuvre monumentale multidisciplinaire
Mécanique signifie machine, et au travers de cette machine qui est la ville j’ai voulu exploité en couleur, en verre, en formes, en lignes et en rythme le courant électrique qui fait vibrer ses organes, se flux qui la fait vivre. Cette ville je la décompose et je l’autopsie pour mieux saisir l’ampleur de mon intervention à vouloir comprendre ce qui la mue. L’homme a créer la ville a son image. «La ville se réveille en sueur Elle se cambre pour mieux se relever. et du bout de ses fondations elle crie à s’époumoner qu’elle est là et elle y restera. Elle est moi Elle est comme moi Elle est faite de chair, d’os et de sentiments. Elle crie et pleure Elle a peur. Elle est humaine La nuit les monstres existent …ils existent en elle.» Je construit mon histoire par une fresque de 92 pieds, 92 secondes tirées d’un volet de la ville d’une ville qui a des souvenirs qui s’effacent aussi vite que le cœur d’un mortel. De mon passage au travers de cette ville, de mon périple, Je garde des squelettes de souvenirs, de beautés, d impressions du déjà vue, de ressentiments. Je transpose en peinture, en verre, Ce qu’elle me dit tout bas dans le creux de mon oreille. Elle me parle doucement pour moi, Mais différente pour vous. Voilà mon histoire. Besner
Dévoilement Œuvre Majeure Corporative
